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LA TRANSITION AU BURKINA FASO EST DIVINE! LES PREUVES ?
30 septembre 2015

LETTRE OUVERTE AU PASTEUR MAMADOU KARAMBIRI

L’auteur de cette lettre ouverte dit l’avoir, à son corps défendant, publiée parce que n’arrivant pas à toucher le Pasteur Mamadou Karambiri, sur ce que le « Seigneur » lui a révélé.

 

Tout d’abord, j’aimerais mentionner mon profond respect pour vous en tant que père spirituel et pour l’œuvre grandiose que vous avez accomplie jusqu’ici. Vos enseignements et divers messages ont un temps soit peu fait sortir le peuple de Dieu de l’ignorance et je reconnais avoir bu à votre source. Cependant l’arbre ne doit pas cacher la forêt. C’est pourquoi, je suis dans l’obligation de vous interpeller à travers cette missive.

Cher papa, en mai 2010, vous m’avez reçue dans votre bureau, après avoir lu mon premier livre titré, « Justine la révélation de la justice de Dieu », et à l’occasion, vous m’avez félicitée, prodigué des conseils, et bénie avant de me donner votre contact personnel afin que je puisse vous joindre en cas de besoin.
Un mois après, c’est-à-dire en juin 2010, j’ai été poussée à entreprendre un voyage en Côte-d’Ivoire ; ce qui correspondait à mon désert spirituel. Pendant mon séjour à Abidjan, le Seigneur m’a mise au courant de la destruction de ce pays à cause de l’impiété qui y était à son comble.

Puis, il a décrit les normes de la marche avec Dieu à l’intention des nations afin qu’elles ne connaissent pas toutes le même sort. Le Seigneur me prévenait, au travers de Luc 21/25, que l’angoisse sera grande chez les nations qui ne sauront que faire.
Je suis donc revenue de mon voyage avec la vision que le culte devait changer de forme et que le peuple de Dieu devait être libéré afin qu’il apprenne à écouter Dieu. Puis, quelque temps après, la guerre se déclenchait en Côte d’Ivoire. J’ai donc fait usage de votre contact pour demander audience afin de vous en parler mais, ce ne fut pas possible. Je ne doutais pas que vous aviez reçu le même message, mais, mes instances concernaient surtout le fait que le Seigneur m’avait certifiée que si on ne libérait pas Son peuple, c’était la persécution qui viendrait le faire.
Un peu découragée de n’avoir pas été reçue, je m’en suis remise au Seigneur qui m’a inspirée à consigner toutes les révélations dans des livrets. D’ailleurs, je n’ai pas manqué d’y consigner sous la forme d’une prophétie que : « si on ne libérait pas le peuple de Dieu, c’est la persécution qui viendrait le faire ».
Puis, le Seigneur a créé une occasion où j’ai pu vous remettre en mains propres des exemplaires de ces écrits. Vous m’aviez alors promis de me rappeler. Ce qui ne fut pas le cas jusqu’ici. Je me suis donc résolue de ne pas insister mais, le Seigneur ne cessait pas de me relancer. Particulièrement, après votre mariage, votre épouse donnait une prédication en direct sur votre chaîne de télévision et le message portait sur l’ânon qui devait transporter le Seigneur Jésus Christ à Jérusalem, mais qui malheureusement, était attaché. Elle avait alors proclamé la délivrance des captifs pour conclure son message. Contre toute attente, l’Esprit du Seigneur m’a dit que ce sont les églises qui tiennent le peuple de Dieu attaché et qu’elles ont le devoir de le libérer. Il m’a ainsi incitée à entreprendre de nouvelles démarches auprès de votre épouse. Toutefois, je n’ai pas été prompte à obéir cette fois. Je me suis contentée de demander au Seigneur d’ouvrir Lui-même les portes s’il y tenait vraiment : Et Il l’a fait en mettant à ma disposition le contact direct de votre épouse d’une manière inattendue. Mais, là également, mes efforts pour obtenir une audience ont été vains.

Alors, un jour, le 5 décembre 2011 plus précisément, pendant que vous prêchiez en direct également sur votre chaîne de télévision, j’ai demandé au Seigneur de me parler par votre propre bouche, signe que c’était Lui qui m’envoyait véritablement vers vous et que je devais insister. Il m’a exaucée car, dès l’instant ou j’ai ainsi prié, vous avez interrompu le message et vous avez ouvert une parenthèse ou vous avez proposé une anecdote. Puis, vous avez refermé la parenthèse en indiquant que vous vous adressiez à quelqu’un au dehors. J’ai donc pu graver l’évènement en vous envoyant un message téléphonique dans lequel j’ai repris certains de vos propres termes. Ce qui a donné lieu à une réponse, puis à un appel de votre part où vous me demandiez de vous expliquer cela. J’en ai alors profité pour vous demander une audience. Rendez-vous fut pris ; cependant, je n’ai pas été reçue, et ce deux fois de suite. J’étais à terme en ce moment et l’accouchement devait intervenir dans le même mois. Vous ayant mis au courant de ma situation, vous ne m’avez plus jamais contactée. Pourtant, je vous apportais les preuves que vous m’aviez demandées et qui étaient consignées dans mon livre Le trône de Dieu tome 1. D’ailleurs, je vous en ai laissé un exemplaire.

Bref, un autre jour, le 9 décembre 2012, soit un an après, votre épouse était encore en train de livrer un message à la télévision, et là, son message portait sur Gédéon, choisi par Dieu pour libérer le peuple d’Israël de la domination de Madian et mentionnait aussi le courage dont Moïse a dû faire preuve pour aller demander à Pharaon la libération du peuple de Dieu. Je me suis sentie encore interpellée par son message à tel point que, saisie par une onction, j’ai formulé un message téléphonique selon encore ses propres termes et je le lui ai transmis. Comme réponse, le même jour, tard dans la soirée, j’ai été réveillée par votre appel téléphonique me menaçant et m’interdisant de m’adresser de nouveau à votre épouse. Je vous ai demandé pardon et je vous l’ai promis. Le lendemain, j’ai reçu l’appel de votre épouse qui me demandait des explications quant à mon message. Après lui avoir présenté mes excuses par rapport à la forme du message, je lui ai fait part de son contenu inspiré. Elle n’a pas manqué non plus de me prodiguer des conseils avant de raccrocher.
Toujours poussée par l’Esprit, j’ai décidé de lui faire cadeau de mon dernier livre, Le trône de Dieu tome 3 que je venais de publier et qui ouvre une fenêtre sur la vie des pasteurs, étant moi-même épouse de pasteur. J’ai donc déposé ledit colis au secrétariat de votre épouse le 23 janvier 2013 et la secrétaire l’a fait entrer devant moi avant que je ne reparte. Aucune réaction n’ayant suivi cette démarche, j’ai décidé de me déplacer de nouveau à son bureau pour demander une audience et le 15 février 2013, j’ai rempli la fiche d’audience requise pour la circonstance. Mais, jusqu’à ce que j’écrive la présente lettre, je n’ai pas reçu de réponse.

Décidée à poursuivre mon ministère sans plus vous déranger, le Seigneur m’a inspirée à écrire des articles dans le journal, Le Reporter, dans la rubrique, La voix des sans voix, les numéros 112 et 113 et cela a ouvert des portes pour la production de mes livres. Puis, ayant organisé une action de grâce pour clore la première phase de mes activités, je me disposais à prendre un petit repos, lorsque, dans la nuit du 1er au 2 avril 2013, le Seigneur m’a présenté le danger imminent qui menace la paix sociale et qui représente la persécution qui viendrait libérer le peuple de Dieu. En effet, il n’y a pas longtemps, Il me prévenait que plus que quarante jours et Ninive serait détruite. Or, Ninive représente toute impiété et injustice des Hommes qui retiennent la vérité captive ; ce dont les églises font montre de nos jours.

Je regrette beaucoup de devoir vous écrire cette lettre, mais, par votre inaccessibilité, vous ne m’avez pas laissé le choix. Devrais-je me taire et fuir ma mission ? L’exemple de Jonas est encore présent dans mon esprit ! C’est donc pour m’éviter le châtiment divin et aussi pour éviter à ce vaillant peuple déjà souffrant une autre fracture sociale que je vous place devant vos responsabilités. Il a le droit de savoir, comme je le disais dans le numéro 112 du journal Le Reporter, que Dieu n’est pas absent de la scène politique, mais que « des bergers » ne se mettant point en peine, « des brebis » font obstacles aux dispositions concernant sa paix.
Tout en regrettant sincèrement d’être passée par ce moyen, veuillez agréer, cher papa, l’expression de mon profond respect.

Justine Marie Philippe OUEDRAOGO
+226 70 11 88 32/ +226 76 61 24 12

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Commentaires
J
Bonjour, <br /> <br /> J'ai lu avec attention votre lettre ouverte. Effectivement, le Seigneur Jésus voudrait que son peuple, acquis chèrement par le sang de Jésus-Christ, soit libéré de certains hommes de Dieu qui en ont fait leur propriété. <br /> <br /> Aussi, suis-je intéressé de savoir quelles ont été les retombées de cette lettre ouverte, SVP ? Avez-vous par la suite pu rencontrer l'homme de Dieu pour lui délivrer le message du Seigneur, SVP ?
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